Qu'en est-il du “traditionalistes” (et ceux qui les condamnent en vrac)

QU'EST-CE QUE LE DIRE “TRADITIONNALISTES” (PRENDRE EN BLOC ET CONDAMNATION)


Mon désaccord avec le Père Ariel ne concerne que les aspects extérieurs, alors que bien sûr je partage la dénonciation des fanatismes idéologiques et des métissages politiques que l'on retrouve dans l'espace traditionaliste. Dans quel domaine ils sont, Mais, aussi des opinions légitimes et des points de vue légitimes, et je ne peux pas renier ma stratégie théologique, qui consiste à ne juger que la doctrine

Auteur Antonio Livi

Auteur
Antonio Livi

garde tueur

l'assassinat brutal du garde privé déjà sans défense sur le terrain lors de l'attaque terroriste contre la rédaction du magazine Charlie Hebdo

Dans mon précédent article J'ai déjà exprimé mon désaccord avec la façon dont, à mon avis imprudent, avec qui mon frère Ariel S. Levi di Gualdo a traité le sujet des caricatures blasphématoires par Charlie Hebdo. [voir qui]. Maintenant, peut-être abuser de sa patience, Je me dissocie une fois de plus de certains aspects de sa façon d'argumenter avec les représentants italiens du traditionalisme militant; elles ou ils, en fait, elle ne se limite pas à la critique légitime et même consciencieuse de certaines idées mais passe à de lourdes références personnelles, nommer quelques publicistes (auteurs de livres et éditeurs de journaux) et même quelques savants sérieux. Tout cela dans l'article intitulé "Nous sommes le changement d'époque, le Saint-Père Francis est nécessaire de surseoir à statuer et de procéder sur les ailes de la foi” [voir qui].

J'avais déjà publié avant ces récents événements qui, sur 'Île de Patmos, un éditorial en logo de l'îlelequel - au nom des trois rédacteurs en chef du journal - j'ai précisé ce que je pensais devoir être notre critère doctrinal et par conséquent notre ligne éditoriale: "Parce qu'on ne peut pas se dire traditionalistes mais pas même progressistes" [voir qui]. L'essence du discours que je prononçais était la suivante: si nous parlons de choses concernant la foi de l'Église et son interprétation correcte, on ne peut pas dogmatiser ce qui est discutable, c'est-à-dire absolutiser ce qui est relatif, car à la fin justement ce qui est absolu vient à être relativisé, c'est-à-dire la vérité du dogme. En conséquence, L'île de Patmos avoir dû, À mon avis, réaffirmer la vérité du dogme à chaque occasion et discerner, parmi les nombreuses opinions théologiques qui sont proposées, ceux qui constituent une interprétation / application légitime du dogme de ceux qui sont au contraire incompatibles avec le dogme lui-même. Ce faisant, il a été possible d'éviter d'assumer des positions théologiquement confuses, de nature à compromettre la fonction d'orientation vers la vérité du dogme qui L'île de Patmos doit avoir. Par "positions théologiquement confuses", j'entends celles qui mettent trop l'accent sur toute opinion légitime sur la doctrine catholique, finir par assumer la qualité épistémique (négatif) de l'idéologie.

Livi CR

Entretien avec Antonio Livi par correspondance Romana. Cliquez sur l'image pour ouvrir la vidéo

la, nommer ma fondation "Union apostolique pour la défense scientifique de la vérité catholique”, J'avais précisément l'intention de promouvoir quelque chose qui était strictement scientifique, c'est-à-dire fondé sur des principes solides et guidé par une méthode appropriée. L'idéologie est tout le contraire de cette manière d'interpréter le dogme, parce qu'il confond sans critique le dogme avec le douteux, la science humaine limitée et relative avec le caractère absolu et définitif de la révélation divine, tel qu'il est formalisé dans le dogme, que saint Thomas considérait comme une participation de la "la connaissance de Dieu et des saints». À quelles formes d'idéologie je fais référence? A ces positions idéologiques qui aujourd'hui dans le débat théologique s'opposent polémiquement et que j'ai citées dans le titre de l'article: traditionalisme et progressisme.

Nous dell 'Isola nous aurions nous devions nous garder d'apparaître comme des partisans de l'un de ces adversaires idéologie de l'inventionidéologie, et expliquer à chacun les raisons théologiques de cet éloignement qui est le nôtre. Cependant, ne pas passer de la critique de certaines idées « extrémistes » au dénigrement des individus. Parce que les individus ne s'identifient jamais à une idée, encore moins avec les idées d'un groupe politique, d'un courant de pensée. Et chaque personne a sa propre dignité qui ne doit pas être injustement impliquée dans la critique des idées, le sien ou l'aire culturelle à laquelle il appartient. Ils ne doivent pas non plus faire l'objet de critiques, dans ce contexte doctrinal, ses intentions hypothétiques, et encore moins des faits personnels et privés.

métro goldwyn mayer

Ariel veut dire Lion de Dieu. Le père Ariel a une particularité qui lui est reconnue: il aime se moquer de lui …

Mon désaccord avec Ariel il ne concerne donc que les aspects externes, alors que bien sûr je partage la dénonciation des fanatismes idéologiques et des métissages politiques que l'on retrouve dans l'espace traditionaliste. Dans quel domaine ils sont, Mais, aussi des opinions légitimes et des points de vue légitimes, et je ne peux pas renier ma stratégie théologique, qui consiste à ne juger que la doctrine (qui est quelque chose qui peut être connu avec une certitude suffisante par un croyant doté d'un critère théologique), et non la conduite, surtout si privé, de personnes (étant donné que leurs intentions et les événements complexes de leur vie ne sont jamais suffisamment connus et ne permettent donc à personne de formuler certains jugements mais seulement des soupçons plus ou moins légitimes et des inférences plus ou moins fondées).

Bianchi, de nombreuses confessions

Enzo Bianchi lors d'une conférence

J'ai été fidèle à cette stratégie théologique même quand je sentais que c'était mon devoir, pour la sauvegarde de la foi dans le peuple de Dieu, désapprouver fortement des doctrines qui me semblaient tout à fait incompatibles avec le dogme (Je l'ai fait, comme tout le monde le sait, dénonçant l'incompatibilité avec la foi constatée dans les discours de certaines personnalités publiques, y compris des laïcs comme Enzo Bianchi et Vito Mancuso, cardinaux tels que Gianfranco Ravasi et Walter Kasper, des évêques comme Monseigneur Bruno Forte, etc). Dans cette ligne, J'ai également œuvré pour promouvoir le respect mutuel dans l'Église entre toutes les opinions compatibles avec le dogme, quelles que soient les différences dans son interprétation doctrinale ou son application historique. C'est précisément pour cette raison que je m'abstiens de juger ce qui n'est pas doctrine mais pratique (pratique pastorale, institutionnel, apostolique etc...), car la pratique des individus est faite de nombreux choix prudentiels que l'individu doit faire face à des circonstances concrètes différentes et qui doivent être guidés, précisément, en vertu de la prudence: vertu que je veux pratiquer dans mon propre travail, mais dont je n'ai pas d'éléments pour juger du travail des autres.

traditionalistes 2

Liturgie selon la un ordre ancien affiché

Dans le quartier traditionaliste il y a aussi des opinions légitimes et doivent être reconnues. Laisse-moi expliquer: si on peut parler de "zone" ou "courant", c'est parce que les différents protagonistes ont tous en commun un certain cadre idéologique, qui consiste à le considérer comme illégitime (totalement ou partiellement) le magistère du Concile Vatican II, comme il serait le bienvenu (totalement ou partiellement) les exemples de l'idéologie opposée, celui du progressisme ou du modernisme. D'où une herméneutique de Vatican II comme « rupture » radicale avec la Tradition, en particulier avec les décrets du Concile de Trente et de Vatican I, avec la condamnation du modernisme théologique par saint Pie X et avec la condamnation du "nouvelle théologie« Par Pie XII. D'où aussi le rejet de toute théologie postconciliaire et la référence constante à la seule théologie préconciliaire. D'où le fait de considérer doctrinalement et pastoralement inacceptables certaines réformes introduites par Vatican II dans la vie de l'Église, à commencer par la réforme liturgique, avec l'attachement qui en résulte à la L'ancien ordre, considéré comme le seul moyen valable de célébrer l'Eucharistie. D'où, enfin, la critique systématique des choix pastoraux des papes post-conciliaires (Bienheureux Paul VI, Saint Jean-Paul II, Benoît XVI et surtout le pape actuel, Francesco), considérés comme des effets délétères des réformes conciliaires.

Mgr Marcel Lefebvre

Les positions les plus extrêmes, dans ce sens, sont ceux représentés par les disciples de Mgr. Marcel- François Lefebvre, dont certains vont jusqu'à parler de « siège vacant » et « d'Église apostolique ». Évidemment, des positions aussi extrêmes ne sont pas prises en compte, tous ensemble, par tous les représentants du traditionalisme catholique, puisque parmi eux il y a aussi des savants sérieux et équilibrés, dont les idées - prises une par une - peuvent et doivent être appréciées, même si pas forcément partagé, comme des interprétations fondées et légitimes du dogme catholique et de l'histoire de l'Église. En d'autres termes, ce sont des opinions théologiques objectivement respectables, et moi, quand l'occasion se présente, Je trouve tout à fait juste de les respecter, et parfois même exprimer mon appréciation. Et à ceux qui travaillent avec moi, je suggère qu'ils fassent de même, c'est-à-dire respecter ces vues théologiques objectivement respectables. Respectez-les - je précise – pas pour le contexte impersonnel (socio-culturel) de l'idéologie qui constitue leur humus, mais dans le cadre personnel du bon raisonnement de ceux qui les proposent.

de mattei concile vatican II

une œuvre historique précieuse de Roberto de Mattei

Permettez-moi de donner un premier exemple, juste pour préciser davantage c'est mon critère. La recherche historiographique de Roberto de Mattei sur Vatican II constitue en elle-même - quel que soit l'usage idéologique qui peut en être fait - une documentation qui a sa propre valeur scientifique incontestable. Je ne partage pas son intérêt à considérer le Concile comme un "événement", parce que je m'intéresse au Concile en tant que Magistère, quelle que soit la façon dont les documents conciliaires ont été élaborés dans les commissions et votés en salle; mais cela ne m'empêche pas de lire ses ouvrages sans préjugés et d'en tirer des informations utiles pour l'herméneutique du Concile, ce qui pour le Pape Ratzinger conduit à reconnaître dans Vatican II une "réforme dans la continuité de l'Église sujette unique". Je ne suis pas non plus tout à fait d'accord avec sa stratégie d'intervention des catholiques dans la vie sociale en défense de "principes non négociables": mais je sais bien que certaines initiatives de la société civile doivent être prises, et ma méfiance face à l'utilisation de certains moyens (l'inévitable mêlée aux questions politiques) ne m'enlève pas mon plein partage des fins. C'est pourquoi je ne pense pas qu'il soit juste de le critiquer dansÎle de Patmos sans distinguer ses évaluations historiographiques (qui entrent dans les limites de la légitime liberté d'opinion des catholiques) et ses initiatives culturelles et socio-politiques (dont l'opportunité ne nous touche pas deÎle de Patmos juger).

Pierre Vassallo

Anthologie des écrits de Piero Vassallo pour prélevée Christian

Permettez-moi de donner un autre exemple. Piero Vassallo c'est un intellectuel génois cultivé, bon connaisseur de l'histoire de la philosophie moderne, et lui et moi sommes d'accord sur la validité de la "philosophie du sens commun" et sur la critique de l'idéalisme en théologie; pourquoi devrais-je rejeter son amitié comme manifeste, lorsqu'il s'agit de sujets sans rapport avec la théologie, sympathies pour la droite politique? En plus de ne pas parler (ni bonne ni mauvaise) de ses convictions politiques, Je devrais également le signaler au mépris du public? Et quel argument théologique dois-je trouver pour l'attaquer? Je devrais peut-être dire que la morale catholique interdit d'avoir de la sympathie pour la droite? Mais l'opinion selon laquelle il faut nécessairement être de gauche pour être un bon catholique n'a aucun fondement théologique: est l'opinion classique des "fondamentalistes" (qui peuvent être des catholiques de droite, Je suis aussi des catholiques de gauche: il suffit de penser aux théoriciens de la "théologie politique" ou de la "théologie de la libération").

hors route …

Les "fondamentalistes" sont théologiquement hors piste, parce qu'ils ignorent la complexité des enjeux politiques et l'espace de liberté que l'Église accorde aux fidèles dans le choix des moyens d'opérer la "médiation" nécessaire entre les principes de l'éthique sociale et les possibilités concrètes de promouvoir le bien commun dans la contingence historique. Je dois donc me limiter à des considérations d'ordre théologique, rappelant à tous qu'il n'y a pas de dogmes en politique, et le vrai dogme, quelle est la base de la morale catholique, elle n'oblige les fidèles à faire aucune option politique contingente. Les principes de la théologie morale (et la doctrine sociale de l'Église constitue un chapitre de la théologie morale, dit Saint Jeune Paul II) ils indiquent des critères que la conscience des fidèles doit suivre, les appliquer avec liberté et responsabilité personnelle aux circonstances historiques concrètes dans lesquelles nous nous trouvons en train d'opérer.

brunero gherardini 2

l'éminent théologien de l'école romaine Brunero Gherardini

Un troisième exemple est celui de Brunero Gherardini, théologien du Latran et exposant de ce qui était autrefois la célèbre "école romaine", auquel les progressistes ont voulu infliger damnation de mémoire. Les traditionalistes, au contraire, exaltent Gherardini parce qu'il a placé la notion de « Tradition » au centre de la discussion théologique de l'après-concile., sans toutefois l'appréhender pleinement dans sa complexité épistémique. Je pense l'avoir bien compris et cela ne me convainc pas complètement (il le sait car nous sortons ensemble depuis de nombreuses années et nous échangeons des avis sur de nombreux sujets), mais néanmoins je conseille à chacun d'étudier ses textes, riche de bonne doctrine et de profonde piété. Dans l'un de ces textes, il conclut son analyse des documents doctrinaux de Vatican II, notant dans certains cas leur ambiguïté: une ambiguïté qui permet aux progressistes d'interpréter des interprétations fausses et biaisées, capables de justifier leur "herméneutique de la discontinuité", c'est-à-dire la thèse selon laquelle Vatican II marquerait une rupture radicale avec la Tradition. Mais quelle est la conséquence que Gherardini tire de cette analyse de son? Non pas le rejet aveugle des enseignements conciliaires mais un appel respectueux et sincère à l'autorité suprême du Magistère, père, parce qu'il prévoit de la manière qu'il juge appropriée de préciser dans quel sens ces propositions ambiguës peuvent et doivent être interprétées en continuité avec le magistère précédent. J'ai pensé qu'il était juste et juste d'adhérer à cet appel public au Pape, bien que personnellement j'ai toujours pensé que le problème des ambiguïtés contenues dans certains textes conciliaires devait être résolu avec le critère herméneutique de "l'analogia fidei", c'est-à-dire en supposant que l'Église du Christ - le seul sujet permanent dans les contingences historiques changeantes – il n'a jamais l'intention de se contredire, de sorte que dans les intentions de l'Église enseignante toute évolution du dogme est toujours en harmonie substantielle avec la Tradition (c'est une "évolution homogène", comme disait Marin Sola).

Et je pourrais donner bien d'autres exemples, mais ça suffit. Si nous de laÎle de Patmos nous condamnons sans discernement des individus d'une certaine zone idéologique, sans sauver les aspects objectivement positifs de leurs propositions théoriques, on fait aussi une opération idéologique, et ainsi notre travail d'orientation théologique de l'opinion publique est sévèrement limité.

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Nous tenons à signaler à nos lecteurs que le précédent article d'Antonio Livi a été particulièrement apprécié dans le contexte français et a été traduit et reproduit dans un magazine en ligne que vous pouvez consulter en cliquant ci-dessous

QUI

3 réponses
  1. Hector dit :

    Mons. Livi, merci aussi cette fois pour votre intervention polie. Il arrive que les jeunes officiers en "seconde", appelé à diriger un tronçon de navigation, ils sont souvent désireux de montrer les aptitudes et les compétences qu'ils ont acquises; leur exubérance, leur audace les pousse à aller jusqu'au bout, au bord de la vague, parfois au-delà, souvent ne connaissant pas ou sous-estimant les dangers de la mer. C'est au commandant sage et avisé de veiller. Avec douceur d'esprit et fermeté de langage, Elle reprend la conduite et "repositionne" le safran sur le bon cap et sûr en termes de direction et de vitesse: une nouvelle leçon de culture et de technique indispensable à la formation des futurs commandants sur le terrain: toujours savoir évaluer et respecter l'homme, nature, les sensibilités, considérer les emplacements, les circonstances, etc pour pouvoir et toujours savoir prendre la meilleure décision – aussi à travers les différentes expériences vécues et une longue série inévitable d'erreurs. Ce n'est qu'ainsi que nous pourrons grandir. Seulement quand on n'aura plus de supérieur sage qui nous fera le don de ses reproches, ce n'est qu'alors que nous sentirons pleinement le poids de notre responsabilité!

  2. père ariel
    Manuela Di Crisci dit :

    Cher Père Antonio Livi, pour beaucoup vous êtes devenus les trois pères patmosiens, Et peut-être qu'elle ne connaît pas le réconfort que tu nous donnes!! je dis “là”, car vos articles font souvent l'objet de réflexions et d'échanges d'opinions entre de nombreuses personnes qui les tournent et les commentent. Il faut reconnaître que, Père Ariel, c'est lui au milieu de vous qui charge le canon puis tire des feux d'artifice qui s'allument souvent, un guerrier né. lei, Père Livi, bataille aussi, mais d'une manière différente, mais pas moins décisif, J'ai suivi toute sa polémique sur Enzo Bianchi, et je sais qu'elle va dur aussi. Le père Giovanni Cavalcoli est, lui aussi, un tempérament guerrier, mais c'est celui entre vous trois qui se situe à mi-chemin entre le tempérament du Père Ariel et son, comme si ce Père vous synthétisait tous les deux.
    J'ai trouvé vos trois derniers articles magnifiques, où exprimez-vous, elle et le père Ariel, une manière différente de traiter les mêmes choses, mais unis dans la même substance sous-jacente. Puis, entre vous, il doit y avoir une grande affection, viens de lire, dans certaines lignes, comme le Père Ariel parle des deux autres, de toi.
    Je crois que ce magazine Patmos aura un grand avenir, grâce à cette union d'esprit et de but entre vous trois.
    Je suis un très modeste diplômé d'un institut supérieur des sciences religieuses, J'enseigne dans un collège le matin et le catéchisme en paroisse trois après-midi par semaine. Croyez-moi Père Livi: vous trois avez changé ma vie, dans le sens où tu m'as poussé, malgré quelques mauvais enseignements que nous avons eu, voir la doctrine autrement, et vous m'y avez amené avec vos articles et trois de vos livres: théologie Vrai et faux (Livi) Karl Rahner le conseil trahi (Les chevaux) et ce travail profond et tranchant d'E satan est devenu trinitaire (Levi Gualdo).
    Vous êtes très critiqué, par certains vrais ou faux théologiens, peut-être que tu le sais aussi, mais vous êtes très apprécié des professeurs de religion, catéchistes, fidèles engagés, et aussi plusieurs pasteurs de ma connaissance, ils vous suivent très attentivement et parlent de vous, et ce que je touche avec ma main en personne, parce que je peux dire que mon curé, expliquer à quelques paroissiens perdus que “un pape ne doit pas aimer ça” mais qu'il faut suivre et obéir, il a utilisé un article du Père Ariel et deux de vos articles, et beaucoup de ces perdus ont clarifié leurs doutes.
    Alors je t'offre mon estime et celle de bien d'autres personnes qui te suivent et à qui tu donnes des idées de réflexions et de discussions.
    Et que l'apôtre Jean vous assiste toujours.

    Manuela Di Crisci (Naples)

  3. LDCaterina63 dit :

    Je remercie sincèrement le Père Livi car je partage pleinement ses intuitions car je fais partie de ceux qui, malgré le fait d'aller à la messe dite ordinaire, je ne dédaigne pas – et en effet je le cherche – aller à la messe en rite extraordinaire et dont j'ai vraiment reçu d'immenses bienfaits pour l'âme et même pour le corps…. J'ai aussi fait le Catéchisme avec le SSP (Saint Pierre) et nous n'avons eu aucune difficulté à unir le Catéchisme de saint Pie X à celui “neuf” recherché par Jean-Paul II, sachant bien dessiner des choses anciennes en les harmonisant avec les nouvelles…. pendant – Hélas – la catéchèse paroissiale continue d'être décadente et dépourvue de doctrine. Cette année, par exemple, pendant le carême on ne parlera pas de CONVERSION AU CHRIST mais de charité pour les pauvres, mais ce n'est pas pour cela que le Carême a été organisé….
    sincère merci!

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