Conservation et progrès
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Les critiques de l'article du Père Cavalcoli négligent le contexte théologique dans lequel son intervention s'inscrivait. Sans cette conscience, nous risquons de rester pris au piège dans la dimension unique et confuse du devenir et de la chute., par réaction, dans la même erreur que ceux qui veulent se battre. Sur le plan pratique et contingent (même si ce « contingent » a désormais des dimensions historiques importantes) P. Cavalcoli a précisé que « Voulant faire une comparaison tirée de l'élimination des déchets urbains, faire le ménage dans le domaine lefebvrien équivaut à faire le ménage dans le domaine moderniste, tout comme nettoyer dans une ville suisse, c'est comme s'occuper des ordures urbaines à Naples.» Alors P. Cavalcoli ne vit pas du tout sur Mars. Si la légion des progressistes « hérétiques » veut mettre la Vérité au service de l’Histoire, le petit groupe de traditionalistes « hérétiques » finit par nier l'Histoire au nom de la Vérité, mais ce faisant, ils obtiennent un résultat opposé et pourtant à l'image et à la ressemblance de celui produit par le premier., un résultat qui nie la métaphysique même à laquelle ils font appel: la Vérité finit par être vitrifiée dans la seule dimension espace-temps et devient un fétiche…
…la Vérité finit par se vitrifier dans la seule dimension espace-temps et devenir un fétiche plutôt que de s'y dissoudre.
Avec cette conscience, une critique irréductible de Rahner comme P. Les chevaux, il peut donc se permettre de reconnaître que le théologien allemand a également donné (c'est-à-dire "accidentellement") une contribution positive au Conseil, ce qui n'enlève pourtant rien à la substance hérétique de sa pensée. Chesterton a écrit: «Puisqu'une hérésie n'est souvent pas un simple mensonge; comme le disait Thomas More lui-même, « Il n’y a jamais eu d’hérétique qui n’ait dit que des choses fausses ». Une hérésie est une vérité qui cache toutes les autres vérités. ».
En bref, après les coups de P. Ariel, la carotte de P est arrivée. Les chevaux, peut-être parce que ce n'est qu'à travers une vaste perspective théologique et temporelle qu'il est possible aujourd'hui encore d'exercer une compréhension charitable et pleine d'espérance envers ce temps de l'Église..
Éviter tout doute: le « plutôt que de s’y fondre » fait référence à la position des progressistes « hérétiques ». Et dans les deux cas (progressistes et traditionalistes) nous arrivons à une identification de la Vérité et de l’Histoire de différentes manières, de l'être et du devenir, c'est-à-dire à un déni de l'Être au sens chrétien du terme.
À mon avis, Père Ariel qui a écrit cet article il y a quelques jours
https://isoladipatmos.com/stage/dinanzi-ad-una-chiesa-visibile-affetta-da-una-decadenza-dottrinale-e-morale-irreversibile-e-necessario-aprire-quanto-prima-la-banca-del-seme/
et le Père Giovanni Cavalcoli qui a écrit ceci quelques jours plus tard, oui, ils le sont tout simplement … réparti la tâche entre eux.
Ils sont trop alignés et se soutiennent mutuellement, Cavalcoli et Levi di Gualdo, il suffit de lire leurs articles (et je les lis depuis des années) pour le comprendre.
E’ très typique des esprits spéculatifs dotés d'une intelligence aiguë, proposer les avantages et les inconvénients, blanc et noir.
Et les deux, comme toujours, ils/elles ont accompli (mon avis personnel) d'une manière excellente dans leur tâche de prêtres et de théologiens.
Cher Don Francesco,
vous avez compris exactement le sens de la relation de collaboration fraternelle et intime entre moi et le Père Ariel dans notre ministère doctrinal et pastoral pour le bien de l'Église et le salut des âmes.
Souviens-toi de nous dans la prière.
Chr.mo Prof. Les chevaux,
il n’y a pas de modernistes dangereux d’un côté et de victimes innocentes des modernistes de l’autre, au contraire, la faiblesse de Paul VI existe (bientôt saint) et le grand personnalisme de Jean-Paul II (déjà saint) qui ne s'intéressait qu'aux discours liés à la moralité sexuelle, tandis que des messes créatrices se tenaient dans les églises, nous avons dansé, des concerts ont eu lieu, il y avait du théâtre, tandis que les fondations de la maison tremblaient sous les secousses du tremblement de terre, mais il suffisait que les contraceptifs ne soient pas utilisés en Afrique et que tout allait bien.
A l'époque j'étais diplômé en lettres classiques, puis j'ai étudié la théologie avec une grande passion (à Bologne où elle enseignait) et puis j'ai eu le rôle de professeur de religion dans les écoles.
Dans 1997 J'ai été renvoyé du lycée où j'enseignais parce que j'avais fait une erreur sur le thème de la contraception en discutant avec les élèves des derniers cours., et quand on m'a rappelé j'ai fait l'erreur d'insister pour justifier mes raisons, qui étaient faux, mais me sentant rappelé, je suis devenu encore plus têtu.
Cela peut paraître inhabituel à beaucoup, mais c'est Mgr qui m'a défendu et a demandé à l'évêque de ce diocèse que je sois réintégré. Carlo Caffarra, à l'époque évêque de Ferrare, mais sans réussir.
Mes collègues qui expliquaient que les miracles des évangiles étaient des allégories et non des événements réels ont continué à enseigner jusqu'à leur retraite., mais ils n'ont pas abandonné les contraceptifs sous le grand « pontificat moral »’ de Jean Paul II.
Qui donc a protégé les modernistes dont vous parlez ?, à commencer par les fils de Bultmann au fauteuil?
UNE 78 Grâce à Dieu, depuis des années j'ai atteint la sérénité et la paix avec certaines vicissitudes du passé, et je pense que c'est inutile de demander (même si j'écris la question de manière rhétorique): si nous ne nous étions pas limités à défendre uniquement le “non aux préservatifs”, les choses auraient pu se passer différemment?
Nous avons tous contribué à cette situation, clergé et laïcs, pour ce Père je t'admire pour la façon dont tu identifies les origines’ C'est des défauts’ chez les autres, comme si ces dernières années tu avais vécu sur une île heureuse (pas l'île de Patmos), pendant que tout cela prenait vie.
Si seulement on était prêt à admettre que tout ça est de notre faute!
Non.
Tout le monde est prêt à admettre que c'est la faute des autres, qu'on les appelle modernistes ou rahnériens, tandis que les progressistes désignent les conservateurs ou les traditionalistes lefebvriens comme coupables.
Pendant ce temps, la maison s'effondre, mais c'est la faute des autres …
S.L.. (Ravenne)
cher professeur,
Vous mentionnez à juste titre un aspect essentiel du christianisme: la reconnaissance de nos défauts, qui nous conduit au repentir, à la demande de pardon de Dieu et des frères, obtenant ainsi la miséricorde divine, ce qui nous pousse à réparer et corriger nos défauts. Dans ce processus de conversion, il n'est pas interdit d'accuser le frère de quelque faute, tant qu'on s'en débarrasse d'abord. En fait, ça lui est utile, pour qu'il fasse pénitence et pour la communauté, pour que tu évites de suivre leur exemple. Comme ça, s'il y a des accusations mutuelles entre lefevriens et modernistes, ce n'est pas nécessairement une chose inappropriée qui brise la charité mutuelle, à condition que les accusations soient fondées et constructives.
En effet, on réalise ainsi une correction fraternelle mutuelle., c'était aussi envers le Pape, benché egli resti sempre il supremo custode dell’unità fraterna, ed arbitro nelle controversie, e nel comporre le divisioni, chiamato da Cristo a creare la pace, la concordia e la riconciliazione tra i fratelli.
Lei dice che ‘ un papa riformatore potrebbe correggere la rotta pastorale del Vaticano II ‘. Temo che scrivendo questo le sia sfuggito una piccola … sfumatura … Benedetto XVI ci aveva provato. Ricorda gli ultimi suoi discorsi fatti dopo le annunciate dimissioni quando disse che il Vaticano II non era un ‘superconcilio’ e un ‘superdogma’ ? Ricorda anche la sorte che a Benedetto XVI era stata riservata prima che giungesse alle dimissioni? Non crede che Papa Benedetto che al concilio partecipò sia giunto a capire che nel Vaticano II varie cose non hanno funzionato a dovere? Come interpretare sennò le frasi dei suoi ultimi discorsi sul Vaticano II che non andava preso come un ‘superconcilio’ e un ‘superdogma’ ? Papa Benedetto si è dimesso facendo capire che i gravi problemi della Chiesa andavano ricercati in quello che nel Vaticano II non aveva funzionato, se il problema fosse stato il modernismo, ce lo avrebbe detto con la stessa chiarezza prima di ritirarsi a Castel Gandolfo in attesa del conclave che eleggesse il suo successore.
Luisella De Angelis
Rome
Cara Luisella,
Papa Benedetto denunciò quei difetti pastorali del Concilio, ai quali ho fatto cenno sopra, pur confermando la validità delle sue dottrine. Egli non ha usato il termine «modernismo», ma ha usato espressioni equivalenti, come quando ha parlato di diffusione del soggettivismo e del relativismo, di falsa esegesi biblica, di filosofie irrazionalistiche, di «ermeneutica della rottura», di crisi generalizzata della fede, di «sporcizia» nella Chiesa e quando da Prefetto della Congregazione per la dottrina della fede condannò molti errori modernisti, surtout les Rahnériens.
Mi domando se la frase “i vescovi non vigilano e questo favorisce il modernismo di ritorno” vuol essere una battuta scherzosa o vuol essere una battuta seria. Se la battuta è seria bisogna chiedersi … chi è che nomina i vescovi che non vigilano, e chi dovrebbe vigilare sui vescovi che non vigilano? A noi a Bologna dopo Biffi e Caffarra chi è stato che ci ha mandato un vescovo che ha trasformato san Petronio in trattoria e che oggi si batte per la costruzione delle moschee mentre le chiese cittadine sono sempre più vuote?
Andrea Sanguinetti
Cher Andrea,
il fenomeno di vescovi che non vigilano è ormai vecchio di cinquant’anni. Toutefois, prima di Papa Francesco abbiamo avuto Papi Santi, i quali hanno cercato di frenare l’avanzata del modernismo, e per questo si sono sforzati di vigilare sui vescovi, benchè con scarso successo. Il Papa attuale, au lieu, Malheureusement, che è troppo benevolo verso i modernisti, ci dà dei vescovi ancora peggiori.
Père, se come lei dice … “il Concilio si fosse limitato ad abbandonare una pastorale troppo conservatrice, anachronique, statique, répétitif, trop défensif, suspect, craintif, diffidente ed aggressiva nei confronti del mondo moderno” … oggi ci troveremo nella situazione in cui siamo?
je demande: quale è stata la situazione della chiesa nei decenni successivi al concilio di Trento e qual è la situazione oggi della chiesa a 5 decenni dal concilio Vaticano II ? Concilio del quale io non ho mai messo in discussione autorità e documenti, sono un prete di 69 années, clarifier.
A me pare che quando le cose vanno bene è merito della chiesa e di tutte le sue personalità illuminate, quando le cose vanno male è colpa del mondo, della società, de la politique, degli eventi storici …
Dans ce, la cosiddetta chiesa preconciliare e la chiesa postconciliare sono rimaste identiche in una perfetta e immutata linea di continuità.
Cher Don Francesco,
Il Concilio certamente non si è limitato a fare quello che ho detto, ma ha proposto un ammodernamento, una riforma ed un avanzamento della Chiesa, così da renderla più efficace evangelizzatrice del mondo moderno, assumendo, à la lumière de l'Evangile, quanto di buono c’è nella modernità e respingendo il cattivo.
Se il Vaticano II non ha dato gli splendidi frutti che dette il Concilio di Trento, ciò non è dovuto agli insegnamenti e alle direttive del Vaticano II in se stessi, ma al fatto che al Concilio ha fatto seguito un fortissimo, insidiosissimo ed inaspettato rigurgito di modernismo, mascherato da «progressismo», che i Papi del post-concilio, per quanto Santi, non sono stati capaci di frenare.
Il Papa attuale, puis, anzichè correggere alcuni difetti pastorali del Concilio, come per esempio una certa tendenza buonistica e troppo ottimista sul mondo, li ha aggravati col suo equivoco pitié, per cui siamo giunti alla situazione attuale.
Oggi in papa lo abbiamo avuto a Palermo, in un capoluogo siciliano in pratica semindifferente, altra roba la visita di Giovanni Paolo II un quarto di secolo fa, ma non è questo il tema …
père Rev.mo, i modernisti non perseguitano nessuno. Non ne hanno bisogno !!! Come dire che la mafia che ha tutto il territorio sotto pieno controllo con gli uomini giusti ai posti giusti, si scoprisse mettendosi a perseguitare e fare attentati con cariche esplosive a tre gatti dell’associazione antimafia che la criticano. Semmai la mafia farà avere a quest’associazione delle sovvenzioni.
Caro Salvo,
è vero che i modernisti si sentono potenti e sono potenti. Ma sanno che il loro potere è fondato sulla menzogna e sulla violenza. Sanno di essere un corpo estraneo nella Chiesa e di avere contro i buoni cattolici. Certo il Papa è cedevole nei loro confronti, ma con ciò egli non sta assolvendo al suo dovere di custodire il gregge di Cristo, mais, forse ingannato dagli stessi modernisti, crede di far bene, anche per il successo che ottiene, al quale del resto è troppo attaccato.
Ma il potere dei modernisti non è così tranquillo come Lei crede, lo sanno che Cristo è contro di loro. Oggi la lobby modernista è scossa dalle fondamenta dal tremendo scandalo denunciato dal memoriale di S.E. Mons.Carlo Maria Viganò, che ha coinvolto il Papa stesso e che ha suscitato indignazione contro di loro in tutta la Chiesa. À cause de ce, essi cercano affannosamente ed irosamente di mantenersi a galla con le invettive, la calunnie e le persecuzioni, intravvedendo, disperati, seppur ancora arroganti, che la loro fine è prossima.
Udite, écouter! Bergoglio è circondando da “falsi collaboratori infetti di modernismo e di rahnerismo”. E chi se li è messi attorno? Si sono nominati da soli? E quando hanno combinato disastri chi li ha protetti e chi ha proseguito a tenerseli attorno (cito solo mons. Riche) ?
Il card. Mueller che non era tra quelli “infetti di modernismo e rahnerismo” che fine ha fatto?
Je m'excuse, alle volte non riesco a capire il padre Cavalcoli, ma sicuramente è colpa mia.
Martina De Piscopo (Naples)
Cara Martina,
sono dell’idea che il Papa non sia solo colpevole di essersi circondato di collaboratori adulatori, corrompu, astuti ed eretici, ma che egli, per la sua ingenuità, ambizione ed imprudenza, ne sia anche vittima, pour que, se non compie il suo dovere di guida sicura della Chiesa, non è solo per colpa sua, ma anche dei malfattori che lo ingannano e lo bloccano.
“E di questi mali il Papa non parla mai, tous pris dans une polémique exagérée et partisane contre le traditionalisme, où il y a un risque de mettre tout le monde dans le même panier, s'en prendre également à ce traditionalisme sain qui, avec une conservation saine, sono fattori essenziali della struttura e del progresso della Chiesa”.
E secondo lei perché il papa di questi mali non parla mai? Ha mai pensato che ciò che per lei è male per papa Francesco non sia invece per nulla male?
Cher Simone,
Io non giudico il Papa in base a quello che pare a me, ma in base a ciò che la Chiesa stessa insegna sui doveri del Papa. Se il Papa ritiene bene ciò che io indico come male, egli non agisce contro il mio parere, ma contro i doveri che gli sono imposti da Cristo e dalla Chiesa.
Padre Cavalcoli dice che Bergoglio è garante dell’unità della concordia e della pace nella chiesa. Quindi tutte le divisioni e le lotte in atto da cinque anni le hanno scatenate i perfidi modernisti sotto i poveri occhi papali, mentre il povero papa prigioniero nell’albergo di santa Marta, non sa come fare per mantenere con il suo linguaggio sempre così chiaro e univoco questa concordia e questa pace?
Nel vecchio linguaggio marxista sessantottino si sarebbe detto che “Bergoglio è vittima innocente del sistema imperial capitalista”
Caro Leoluca,
Il Papa ha avuto da Cristo il compito di garantire, fondare, assicurare, promuovere nella Chiesa l’unità, la pace e la concordia fra le sue varie componenti e tendenze. pape françois, benché per diritto e incarico divino abbia questo ufficio, non lo esercita con le dovute prudenza, Justice, diligence, carità ed imparzialità, maman, forse per la sua sete di successo, favorisce indebitamente i modernisti concedendo loro un potere esorbitante e maltratta i lefevriani tenendoli lontano dalla partecipazione alla direzione della Chiesa. Egli è nel contempo colpevole e vittima di questo sistema che egli stesso ha creato.
E’ vero come lei dice Padre che noi non possiamo dire che da 2000 anni si è sempre pensato e fatto così e che si debba continuare a fare sempre così. Io che però sono un divorziato risposato civilmente, non vado a ricevere la comunione, anche se tutte le domeniche vado a messa, perché so di non poterla ricevere. E quando con tutte le garanzie date in questo senso dai preti, gli altri nelle mie stesse condizioni ci vanno perché i preti dicono ai divorziati che papa Francesco ha aperto alla comunione ai divorziati risposati, Je ne vais pas, perché continuo a credere a quello che la chiesa ha sempre insegnato.
Secondo lei faccio male a fare come si è sempre fatto?
Treats.
Paolo P.
Gentile Paolo P,
le parlo da prete, non da gran teologo, non lo sono e non avrei potuto mai esserlo, né da specialista in dommatica sacramentaria, non lo sono e non avrei mai potuto esserlo, ho la testa dura come il Curato d’Ars. Le parlo da prete che infarinato della necessaria teologia di base conosce il catechismo.
Lei fa bene a fare come fa e di ciò Dio le renderà merito.
Per il secondo anno consecutivo, per le prime comunioni in parrocchia io mi sono fatto sostituire da un confratello, non intendendo rendermi complice di comunioni sacrileghe da parte dei componenti assemblee composte non solo da divorziati risposati (il divorziato risposato perlomeno si è assunto delle responsabilità) ma da una pletora di conviventi fuori dal matrimonio (nel qual matrimonio essi dichiaran pubblicamente di non credere) e che al momento della comunione si mettono in fila.
Se in chiesa avessi 10 parrocchiani come lei sarei il parroco più felice di tutta l’Emilia Romagna, invece ne ho 100 che disertano da anni il confessionale, che vivono situazioni irregolari, incluse provocanti coppie gay esigenti piena legittimazione, che ti vengono a dire che la comunione “è un mio diritto” ajouter ensuite “Papa Francesco ha detto chi sono io per giudicare?”.
Per adesso me la sono cavata perché ho un vescovo settantenne di pura scuola Giovanni Paolo II, in Italia non so quanti ne restino, credo però pochi.
Domani non so, se me la caverò col nuovo che verrà, ma non darò mai a nessuno “da mangiare la propria condanna”.
Tenga conto però che io ho solo un’infarinatura di teologia e conosco e applico il catechismo, per ciò quel che dico vale per quel che vale.
Caro Don Pino,
fai bene ad attenerti a quanto dispone la Entreprise membre de la famille, pouquoi, comme j'ai dit, la note 351 du amour joyeux, che parla al condizionale, non è una vera legge in vigore, ma solo un’ipotesi di legge. Ora una legge non si esprime al condizionale ⦋«si potrebbe»⦌, ma all’indicativo o all’imperativo.
Cher Paul,
Lei fa bene a fare come fà. Papa Francesco nella aimer la joie ⦋nota 351⦌ non ha affatto dato il permesso della Comunione a coniugi nelle sue condizioni, ma ha semplicemente detto che potrebbe darlo in futuro. Ma finora non l’ha fatto. Quindi quei preti che danno la Comunione a queste coppie, disobbediscono al Papa.
Quanto a voi, avete come punto di riferimento il disposto del n.84 della Entreprise membre de la famille, in conformità col quale, nel compimento dei vostri doveri cristiani, potete esser certi di vivere in grazia.
Il.mo Prof. Les chevaux,
sono solo un piccolo appassionato di filosofia, ma piccolo. O io non capisco, o lei mi confonde o lei è confuso … ma siccome lei non può essere confuso, sono confuso io, perché se il papa “deve fare ogni sforzo perché le due parti (lefevriani et modernistes) si avvicinino e si incontrino”, questo vuol dire che tesi e antitesi devono armonizzarsi assieme e che gli opposti contrari possono unirsi in maniera armonica.
Merci, leggendo i suoi articoli si imparano veramente tante cose nuove.
Cher Paul,
lefevriani e modernisti non sono due entità astratte come sono la tesi e l’antitesi della dialettica hegeliana. È chiaro che se è vero A, non può essere vero non-A. Ma le cose nel caso presente non sono così semplici. Lefevriani e modernisti sono due realtà umane ed ecclesiali storiche, concrete e collettive, coi loro lati buoni e lati cattivi, come sempre succede nelle realtà umane. Non si tratta di unire il vero col falso. Ma il Papa, invece di coccolare continuamente i modernisti e di strapazzare i lefevriani, devrait, redarguendo i difetti degli uni e degli altri, raccogliere i valori che si trovano negli uni e negli altri, perchè sempre un vero s’accorda con un altro vero.
Cher père, perché come lei scrive … il papa dovrebbe lasciar stare il vescovo brasiliano Camara? Per caso lei non è informato? Guardi che “La Santa Sede ha già ratificato il via libera all’introduzione della causa di canonizzazione del brasiliano vescovo delle favelas”, lo scrive Stefania Falasca su Avvenire.
Legga sotto per averne conferma.
https://www.avvenire.it/chiesa/pagine/dom-camara-via-libera-al-processo-di-canonizzazione
“La concessione del Nihil obstat è stata già firmata il 25 febbraio scorso” (2015).
Suor Claudia
(22 anni missionaria in Brasile)
Suor Claudia,
le faccio osservare che padre Cavalcoli dice poco prima che Papa Francesco deve lasciar perdere anche “i don Lorenzo Milani”, e io sono d’accordo con lui.
Temo che oltre a Camara prossimo santo padre Cavalcoli dimentichi che Papa Francesco ha reso onore a tutte le tombe ad alto rischio, onorando don Lorenzo Milani poi don Tonino Bello, passando tra l’uno e l’altro nel grossetano a render omaggio a quel fuori di testa di don Zeno Saltini (Dio l’abbia in gloria) fondatore del kibbuz cattolico-socialisteggiante di Nomadelfia. Pensi che era solo ad una cinquantina scarsi di chilometri di superstrada da noi (sono di Siena), ma s’è ben guardato di passare a rendere omaggio a Santa Caterina dottore della Chiesa che tanto strigliò i papi confusi come lui ad Avignone, antica omologa della futura casa di Santa Marta.
Quello che di padre Cavalcoli non si capisce è che da una parte lo striglia e dall’altra lo giustifica e quasi lo esalta, come se ad una critica pacata dovesse subito far seguito un’incensata che lavi la colpa d’averlo criticato sommessamente.
Naturalmente sarà io che non capisco, anzi sono proprio certo che no capisco, ensuite … qui suis-je pour juger!
https://www.avvenire.it/papa/pagine/il-papa-a-nomadelfia-com-e-nata-e-cos-e
https://www.avvenire.it/papa/pagine/papa-francesco-a-barbiana-visita-alla-tomba-di-don-lorenzo-milani
https://www.avvenire.it/papa/pagine/papa-francesco-alessano-don-tonino-bello
Caro Luciano,
le mie critiche e la mia difesa del Papa non battono sullo stesso terreno, per cui io non mi contraddico affatto. En fait, se da una parte sono libero di criticarlo nella sua condotta morale e nel suo governo della Chiesa, perché qui egli può peccare – e lo dimostra il memoriale Viganò -, en tant que Maître de la Foi, egli possiede inammissibilmente da Cristo un dono di infallibilità, nonostante il linguaggio a volte ambiguo e disonesto, per cui nel campo delle verità di fede non può ingannarsi, né può ingannare.
Io critico pertanto questo Papa per la sua imprudenza e per la sua visione ristretta della santità, che si limita alla considerazione degli operatori sociali o eventualmente di agitatori politici, lasciando fuori mistici, contemplativi, les moines, eremiti, philosophie, théologie, magistrats, militaire, letterati, artistes, poeti e scienziati, oltre all’ingenuità o negligenza di non informarsi di quanto hanno realmente fatto certe persone che egli ammira. A dit ceci, non possiamo negare, tout comme Luther, che egli sia il Successore di Pietro e quindi non possiamo negargli il rispetto che gli è dovuto come tale. De même, S.Caterina da Siena rimproverava il Papa proprio per richiamarlo al corretto compimento di quell’ufficio petrino, del quale dobbiamo avere sommo rispetto.
Cara Suor Claudia,
una Causa di Beatificazione che viene iniziata non è detto che giunga in porto, perché nel corso delle indagini possono emergere relativamente al Servo di Dio fatti scandalosi o cattivi esempi o testimonianze contrarie, che dissuadono dal proseguire.
Cher Père Cavalcoli,
elle écrit … “Il conservatorismo, au lieu, auquel le Pape fait probablement allusion, è una stolta ed inutile conservazione”.
Dunque lei pensa che papa Francesco abbia una mente così illuminata e una cultura così profonda da essere perfettamente in grado di distinguere “conservatorismo” da “conservazione”?
… volendo in questo scritto c’è di peggio, perchè l’illustre autore scrive che abbiamo avuto “Cinquant’anni di retorica progressista che ha finito per degenerare nel modernismo”.
Basterebbe solo chiedere, in base al principio di causa/effetto, chi è che ha generato, favorito, protetto e portato avanti questa “retorica”? O forse si tratta di una “retorica” sine causa che ha la causa solo ed esclusivamente in se stessa?
… vi sbagliate: il n'y a jamais de fin au pire!
Padre Cavalcoli dice anche che se rispetto alla tradizione “esistono novità assolute” tra le quali “i ministeri femminili”, ciò vuol dire che tra poco lui approverà e ci spiegherà la ottima scelta del diaconato femminile e anche di quel sacerdozio agli uomini sposati che sarà discusso al prossimo sinodo pan amazzonico, perché ciò non costituirà affatto una “rottura con la tradizione” poiché si tratterà di una cosa “contenuta implicitamente nella tradizione”, e lui ci spiegherà anche in che modo e contenuta nella tradizione.
Caro Don Ciro,
il rispetto per la Tradizione non esclude la facoltà del Papa di introdurre novità assolute, che non siano in contrasto con la Tradizione. Il nuovo non è necessariamente in contrasto con l’antico, ma vi può essere un certo antico – e questa è la Tradizione – che può dar spazio per un certo nuovo. E un esempio di ciò è appunto l’introduzione dei ministeri femminili, i quali non negano l’esistenza dei ministeri ordinati propri del maschio, ma vi si aggiungono, così come il femminile si aggiunge al maschile e non lo nega.
Lo stesso dicasi dell’eventuale sacerdozio a uomini sposati, che del resto esiste già nelle Chiese Orientali. Non negherebbe il valore permanente e preminente del sacerdozio celibatario, ma vi si aggiungerebbe come forma diversa di essere sacerdoti.
Diversa è la questione del diaconato femminile. Qui occorre distinguere. Il progetto promosso dal Papa non è assolutamente quello di istituire un diaconato come primo grado del sacramento dell’Ordine – questa sì che sarebbe una rottura con la Tradizione –, ma di ripristinare in forma nuova l’antico diaconato femminile, che era e resta un ministero laicale.
Cher Stefano,
questa retorica fu segretamente preparata, con abile finzione, da un’organizzazione internazionale col segreto appoggio del mondo comunista e della massoneria, già all’interno dei lavori del Concilio. Durante i lavori del Concilio i complottisti si mascherarono sotto l’etichetta di «progressisti», così da non generare sospetti e si acquistarono la stima di molti vescovi. Un difetto del Concilio fu quello di non organizzare un robusto sistema di difesa contro l’eresia, perché si ebbe troppa fiducia che non ce ne fosse bisogno.
Finito il Concilio, les modernistes, sicuri dell’impunità a causa del prestigio che si erano acquistato con l’inganno, uscirono spavaldamente allo scoperto, dando ad intendere a molti di essere stati loro i protagonisti del rinnovamento conciliare. A questo punto i vescovi, per non fare la figura dei retrogradi anticonciliari, presi in contropiede, non ebbero il coraggio di denunciarli. Purtroppo gli stessi Papi del post-concilio, attorniati e ingannati da questa massa chiassosa e crescente di finti progressisti, che per un certo verso, le reste, avevano dato un contributo valido al Concilio, non ebbero la forza di fermarli. Queste sono le origini della tragedia di oggi, con un Papa che non riesce a governare la nave nella tempesta, vantandosi di essere un «rivoluzionario». Io ho personalmente vissuto tutti questi avvenimenti, ayant 77 années.
Oggi bisogna chiarire ai giovani queste cose.
Je vous remercie
Antonio Caro,
pape françois, en tant que Maître de la Foi, avrebbe a disposizione i criteri per fare questa distinzione, mais malheureusement, frastornato dal suo desiderio di successo, suggestionato da collaboratori modernisti e confuso dal suo carattere umorale, pare che non ne sia capace.
Cher père Cavalcoli
le volevo domandare perché cerca di conciliare la tradizione con la modernità?
Se Rahner è eretico perché lei afferma che ha portato qualcosa di positivo al Concilio Vaticano II?
Perché per lei considerare il concilio un mezzo fallimento sarebbe una tragedia? visti i risultati dopo 50 anni una domanda me la farei, perché condannare l’errore non va più bene
come si faceva nel preconcilio? Il concilio ha aperto alla libertà religiosa ed ecco il risultato l’intera Europa è in mano alle false religioni e le anime si perdono anzi si dice tutte portano a Dio.
il Santo Padre l’ha affermato pubblicamente: les Juifs, les musulmans, les chrétiens, buddisti,siamo tutti figli di Dio, ma non se l’è inventato Bergoglio, ed è conseguenza della nostra aetate e delle aperture conciliari.
je vous remercie
La chair de Fabius,
occorre conciliare la tradizione non con la modernità presa in blocco, ma con quanto di buono c’è in essa al vaglio del Vangelo. È questo il vaglio che ha fatto il Concilio. Per questo il Concilio è tuttora attuale, perché occorre continuare a fare questo vaglio nei confronti dei nuovi problemi che sorgono, e che non esistevano ai tempi del Concilio, come per esempio la diffusione dell’Islam o della massoneria o la questione degli immigrati. Non è quindi il Concilio che ha fallito, ma la falsa riforma conciliare promossa da Rahner e da altri.
Io non cerco di conciliare la tradizione con la modernità presa in blocco, ma solo con quella parte di sana modernità, che si concilia con la tradizione. Infatti la vita della Chiesa e per conseguenza la vita del cristiano nasce dall’esperienza della tradizione, per la quale egli conserva i valori perenni, li approfondisce continuamente, li fa fruttare, li sviluppa, li migliora, li fa progredire e li ammoderna, senza mutarli nella sostanza, ma conservandoli intatti nella loro immutabile identità.
Rahner, come tutti gli eretici, accoglie o insegna alcune verità. È questo l’aspetto positivo del pensiero rahneriano – non sono certo le sue eresie – che ha dato un contributo valido agli insegnamenti del Concilio.
Considerare il Concilio un mezzo fallimento sarebbe una tragedia, perché in realtà i suoi insegnamenti dottrinali sono preziosi. Se ha un difetto, questo tocca la parte pastorale, dove riscontriamo un certo ingenuo buonismo, come se tutti gli uomini fossero in buona fede e di buona volontà, e un certo ingenuo ottimismo nei confronti del mondo, quasi come se in esso non vi fossero le conseguenze del peccato originale e l’azione del demonio.
Da qui viene un atteggiamento troppo benevolo verso le altre religioni, che trascura di ricordare i loro lati negativi. Ciò ha dato occasione a quell’indifferentismo relativista, che Lei denuncia e che sembra presente nella predicazione di Papa Francesco. Ma in realtà questo errore non è autorizzato dal Concilio, il quale ribadisce il primato del cristianesimo sulle altre religioni.
Tenendo conto di questo e senza andarvi contro, la dottrina della libertà religiosa, rettamente intesa, è da accettare tranquillamente, perché nulla ha a che vedere col relativismo, ma semplicemente ordina allo Stato di non disturbare e non interferire nelle convinzioni religiose delle comunità appartenenti a diverse religioni, presenti nel suo territorio, purchè esse non mettano in percolo il bene comune e la convivenza civile. Non appartiene allo Stato, ma alla Chiesa stabilire qual è la vera religione.
La chair de Fabius,
occorre conciliare la tradizione non con la modernità presa in blocco, ma con quanto di buono c’è in essa al vaglio del Vangelo. È questo il vaglio che ha fatto il Concilio. Per questo il Concilio è tuttora attuale, perché occorre continuare a fare questo vaglio nei confronti dei nuovi problemi che sorgono, e che non esistevano ai tempi del Concilio, come per esempio la diffusione dell’Islam o della massoneria o la questione degli immigrati. Non è quindi il Concilio che ha fallito, ma la falsa riforma conciliare promossa da Rahner e da altri.
Io non cerco di conciliare la tradizione con la modernità presa in blocco, ma solo con quella parte di sana modernità, che si concilia con la tradizione. Infatti la vita della Chiesa e per conseguenza la vita del cristiano nasce dall’esperienza della tradizione, per la quale egli conserva i valori perenni, li approfondisce continuamente, li fa fruttare, li sviluppa, li migliora, li fa progredire e li ammoderna, senza mutarli nella sostanza, ma conservandoli intatti nella loro immutabile identità.
Rahner, come tutti gli eretici, accoglie o insegna alcune verità. È questo l’aspetto positivo del pensiero rahneriano – non sono certo le sue eresie – che ha dato un contributo valido agli insegnamenti del Concilio.
Considerare il Concilio un mezzo fallimento sarebbe una tragedia, perché in realtà i suoi insegnamenti dottrinali sono preziosi. Se ha un difetto, questo tocca la parte pastorale, dove riscontriamo un certo ingenuo buonismo, come se tutti gli uomini fossero in buona fede e di buona volontà, e un certo ingenuo ottimismo nei confronti del mondo, quasi come se in esso non vi fossero le conseguenze del peccato originale e l’azione del demonio.
Da qui viene un atteggiamento troppo benevolo verso le altre religioni, che trascura di ricordare i loro lati negativi. Ciò ha dato occasione a quell’indifferentismo relativista, che Lei denuncia e che sembra presente nella predicazione di Papa Francesco. Ma in realtà questo errore non è autorizzato dal Concilio, il quale ribadisce il primato del cristianesimo sulle altre religioni.
Tenendo conto di questo e senza andarvi contro, la dottrina della libertà religiosa, rettamente intesa, è da accettare tranquillamente, perché nulla ha a che vedere col relativismo, ma semplicemente ordina allo Stato di non disturbare e non interferire nelle convinzioni religiose delle comunità appartenenti a diverse religioni, presenti nel suo territorio, purchè esse non mettano in percolo il bene comune e la convivenza civile. Non appartiene allo Stato, ma alla Chiesa stabilire qual è la vera religione.
Caro Père,
Se le cose stanno come lei dice che non bisogna fidarsi di un divenire confuso e contraddittorio (e sicuramente le cose stanno così), ciò vuol dire che non bisogna fidarci dell’inquilino di santa Marta? Perché chi è ambiguo e contradditorio è lui, o le risulta il contrario?
Caro Lucio,
Il divenire confuso e contraddittorio è quello provocato e invocato dai modernisti. Père, come Successore di Pietro, ci guida sulla via del Vangelo. Toutefois, ha ogni tanto certe espressioni, che possono farlo sembrare un modernista. E soprattutto il suo difetto è che egli non corregge i modernisti, non risponde a chi chiede chiarimenti sul suo insegnamento e non smentisce le cattive interpretazioni delle sue parole.