admonester les pécheurs: discours d'ouverture finale au synode du pape François

Père John

avertir les pécheurs:

LA PROLUSION FINALE AU SYNODE DE

SUPRÊME PONTIFE FRANCESCO

 

Avec tout le respect que je dois à certains “traditionalistes” nous, les anciens, nous rappelons bien quel était le climat formatif et confessionnel avant le Concile Vatican II dans le domaine des péchés sexuels et sans être modernistes on ne le regrette pas du tout …

 

Auteur John Cavalcoli OP

Auteur
Giovanni Cavalcoli OP

 

Synode 2

Assemblée du Synode des Évêques, octobre 2014

jele récent synode des évêques, comme il est connu, il a élaboré des propositions pastorales concernant les valeurs et les problèmes de la famille à soumettre aux décisions du Pape à l'avenir. Ces propositions sont contenues dans le document final du 18 en octobre dernier. Ils contiennent sans doute la confirmation de la conception catholique de la famille, louanges et encouragements aux familles qui vivent honnêtement, sainte et parfois héroïque leur vocation, au milieu des risques, travaux, souffrances et dangers, surmonter les obstacles et surmonter, avec l'aide de Dieu, tests de toutes sortes.

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Une paire de “conjoints” les homosexuels avec leurs “jouet de bébé”

On parle aussi d'autres formes de relation ou union homme-femme civile ou non civilepartenariats matrimoniaux et même entre personnes de même sexe, avec l'intention de tracer ou de récupérer des valeurs ici aussi, du possibilité de rançon, d'élévation et d'amélioration, comprendre ou excuser des difficultés insurmontables, élaborer pour eux un modus vivendi qui leur convient, qui leur permet de contribuer au bien de la société et de l'Église, uneles assurant également de la possibilité du salut, puisque, comme il est connu, Dieu veut que tout le monde soit sauvé et donne à chacun cette chance, même à ceux qui ne peuvent pas o ils ne veulent pas accéder aux sacrements sans faute de leur part mais de bonne foi.

Primat archevêque de Pologne

Le Primat de Pologne, Cardinal Stanislaw Gądecki

Examen de ces propositions Toutefois, à un œil attentif, révèle l’existence d’une grave lacune, qui a été souligné le jour 14 Octobre à propos du « rapport Erdö » du cardinal Stanisław Gądecki, Primat de Pologne, qu'il a observé: "Au cours du débat d'aujourd'hui, il a été souligné que la doctrine exposée dans le document a complètement omis le thème du péché.. Comme si la vision du monde avait gagné et que tout était imperfection qui mène à la perfection.».

papa 3

Le Saint-Père Francis

Père, dans son discours au synode la 18 suivant, repris cette sage observation on s'en souvient:

"La tentationion de bienfaiteurs destructeurs, qui au nom d'une miséricorde te trompece, panser les plaies sans les traiter au préalable e le soigner; qui me traite les symptômes et non les causes et les racines. C'est la tentation du “bienfaiteurs”, de peur et aussi le soi-disant “libertaires et progressistes”, la tentation de transformer la pierre en pain rompre un long jeûne, lourd et douloureux [cf. Lc 4,1-4]».

Peut-être que le Saint-Père aurait pu prononcer le terme exact: “modernistes”.

Que signifient ces paroles du Pape ?? Un principe qui devrait être évident pour tous les bons bergers, c'est-à-dire qu'il faut certainement avant tout comprendre le pécheur dans ses faiblesses et l'encourager à développer ses bonnes qualités., selon les paroles réconfortantes du divin Maître: “Ne cassez pas le roseau fissuré et n'éteignez pas la mèche du fumigant” [Mont 12,20]. Mais tout cela n'est pas une fin en soi, mais ensuite cela sert à éliminer le péché et à affronter le vice de front et à le corriger. De même, un bon médecin, face à une personne malade, il évalue sans aucun doute quelles sont ses ressources saines, mais pour voir comment les utiliser pour vaincre le mal.

Monica Bellucci dans Maddalema

Monica Bellucci joue Marie-Madeleine dans le film La passion de Mel Gibson

jeles remèdesou un ce laxisme irresponsable ou peut-être même que la rigidité intellectuelle et la rigueur rétrograde ne sont pas coupables de ceux qui abandonnent, comme le dit le Pape, à la tentation de”raidissement hostile”, et qui a appelé “traditionalistes”, où il n'est pas difficile de reconnaître les nostalgiques des méthodes pédagogiques du pré-conciliaire, comme si au cours de ces cinquante années la pastorale de la sexualité inspirée par le Concile n'avait fait aucun progrès. Aucune attaque, évidemment, à la tradition en tant que telle, mais à une manière de le concevoir, qui l'oppose à la réforme conciliaire.

Celles-ci “traditionalistes” étroit d'esprit et sans cœur, sous prétexte de défendre des valeurs absolues et des dogmes, ils négligent, au niveau de la guidance concrète des âmes, attention au bien qui ne se trouve pas dans le péché, mais dans le pécheur et le besoin de le suivre comme la mère qui marche lentement pour accompagner les petits pas de son enfant. Les vrais éducateurs savent à quel point les chemins de la perfection et de la libération du vice et du péché sont graduels..

Nous, les anciens, nous souvenons bien du climat de formation et le confessionnal devant le Concile Vatican II àconfessionnal domaine des péchés sexuels et sans être modernistes on ne le regrette pas du tout. Par exemple, il y avait l'habitude que le confesseur accusait facilement un pénitent de péché mortel pour un petit acte involontaire et inconscient, exécuté sans malveillance et sous la pression d'une impulsion soudaine. Les jeunes qui s'en prennent aujourd'hui au Conseil ne savent peut-être pas très bien comment c'était avant. Avec ça bien sûr je suis à mille lieues d'approuver les excès et les débauches contraires d'aujourd'hui, qu'ils aimeraient présenter sous l'égide de “maturité affective”, du progrès, de liberté et de miséricorde.

Le Saint-Père, sa part, dans le même discours, il a indiqué le droit chemin dans une sage combinaison de justice et de miséricorde, promotion et correction, fermeté et flexibilité, respect des principes et attention aux cas individuels, le tout dans un grand amour des âmes et de l'Église, avec dévouement, préparation théologique et esprit de service.

péchés différenciés

“tri des déchets”

Mais revenons au synode, on dirait plutôt que ces bons évêques avec leurs discours bienveillants et pacifistes, je n'ai aucune expérience du confessionnal. Si un pénitent vient me dire qu'il a commis un adultère, ou qu'il est tombé amoureux d'une autre femme, ou qui va chez les prostituées, ou a une liaison extraconjugale, ou qui vit avec une autre femme, ou qu'il est divorcé remarié, ou qu'il est homosexuel, Je l'écoute avec bienveillance et essaie de comprendre sa situation et ses difficultés, J'essaie de lui faire prendre conscience de tout le positif qu'il peut y avoir dans ces relations et de l'encourager dans ce sens., mais il est évident que mon devoir de docteur des âmes sera alors celui de bien faire prendre conscience au pénitent soit de sa position irrégulière, soit de l'état de péché dans lequel il se trouve, soit du moins du fait que ce qu'il fait n'est pas bon et est un péché, qu'il soit mortel ou véniel, dont il faut se libérer. Je vais devoir l'avertir des conséquences tragiques et du châtiment divin, vers laquelle il va vers, s'il ne se corrige pas, tout comme le médecin avertit un patient cardiaque que si vous ne guérissez pas, il va avoir une crise cardiaque. Autrement, quel docteur je suis? Maintenant, où sont ces avertissements et considérations dans le document des évêques? Ils semblent dire à tout le monde: “Rester calme, respecter les choix de chacun, continue comme ça et tu verras que tout ira bien”.

sucré

Le sucre aide à la digestion

Si un tel document, si tu veux être vraiment sérieux, pastorale et éducative, de manière à faire le bien des âmes, et ne vous contentez pas de distribuer des bonbons et de donner l'impression d'acquiescer au mal, il faudra bien, à l'éloge et à la promotion du positif, ajouter et préciser avec sérieux et préoccupation ce que les pasteurs doivent faire pour corriger les pécheurs et ce que les pécheurs doivent faire pour résoudre leurs problèmes, se débarrasser des difficultés, sortir de situations irrégulières et guérir de leur péché.

De ça encore, également dans le document final du 18 en octobre dernier, il n'y a pas de mot ou du moins le discours est trop rare et générique et donc insuffisant. On peut se demander pourquoi nos évêques n'ont pas pensé à ajouter les indications précitées, toujours transmis par tous les bons bergers. Il est possible que les bienfaiteurs modernistes les aient tellement influencés? Il semblerait que nous soyons tous dans l'état édénique et que les conséquences du péché originel n'existent plus.

conscience

Ces profondeurs de la conscience de l'homme que seul Dieu peut pénétrer et lire

D'où les observations justes et sérieuses non seulement du pape et du cardinal Gądecki, ou d'autres cardinaux et théologiens, mais de tous ceux, même les communes fidèles et les familles elles-mêmes, qui les a rejoint, à qui le bien de tous et de toute l'Église est au cœur. Certainement beaucoup de ces personnes déviantes, qui entrevoient la vérité et ne sont pas têtus et endurcis dans le péché, mais ils ressentent l'inconfort de la conscience et le désir d'être en paix avec Dieu et avec l'Église, ils sont disponibles de diverses manières pour entendre une parole de correction paternelle, qui leur montre le chemin de la rédemption et de la libération. Certains devront être secoués vigoureusement pour les réveiller et leur faire prendre conscience de leur responsabilité et des risques graves qu'ils encourent.. Il faudra se méfier des autres comme si nous étions des personnes dangereuses. Pour d’autres, il n’y aura plus qu’à prier pour qu’ils se convertissent.

portes ouvertes

Les portes ouvertes de l'Église

Il est vrai que l’Église n’exclut personne; mais le fait est que ces malheureux sontro un ne voulant pas appartenir à l'Église ou s'ils disent y appartenir ou ont une fausse conception de l'Église ou sont exje suisils sont faux et hypocrites, qui ne veut vraiment pas servir l'Église, mais utilise-le pour tes propres intérêts. E se je mediils ne nous parlent pas, ne pas intervenir, ils regardent juste, ils ne diagnostiquent pas et surtout ils ne guérissent pas, que deviendront les malades? Ou s'ils les cajolent en minimisant leurs méfaits, comment vont-ils être guéris? Ou s'ils ne leur montrent pas leur mal, ces malades ne parviendront peut-être pas à penser que ce n'est pas une mauvaise chose mais une bonne chose?

café soluble

… mariages solubles comme le café

Cette façon de procéder des évêques pourrait favoriser chez quelqu'un l'idée qu'en fin de compte, mariage indissoluble ou dissoluble, chasteté conjugale ou contraception, relations conjugales ou prénuptiales, relation conjugale ou liaison extraconjugale, sacrement ou coexistence, monogamie ou polygamie, l'hétérosexualité ou l'homosexualité ne sont pas tellement des alternatives respectivement entre une action bonne et honnête et un mauvais péché, mais ce sont simplement des choix différents, laissé au libre choix de chacun. Il existe également un soupçon inquiétant selon lequel les évêques, se précipiter vers de telles flatteries, sont intimidés par des pressions ou des menaces voilées ou ouvertes de la part de puissances fortes, que nous pouvons imaginer ce qu'ils pourraient être et qu'ils veulent que l'Église renonce à sa fidélité à ses principes moraux, parce que tu acceptes les maximes du monde.

Père Pio

Saint Pio de Pietrelcina a passé des heures et des heures à écouter des confessions

Si c'est le cas, on pourrait se demander alors, en outre, quelle est la signification du sacrement de confession. Qu'est-ce que tu vas dire au curé? Et en effet, nous, confesseurs, prenons conscience du climat qui se crée: souvent, ceux qui entrent au confessionnal n’ont aucun péché à accuser, mais il fait une liste de bonnes œuvres en assurant au confesseur qu'il fait tout ce qu'il peut pour être un bon chrétien. Juste dans ce lieu sacré, où plus que jamais les fidèles devraient exercer “avec peur et tremblement” [Fichier 2,12] humilité, sans vaines autojustifications, s'accuser d'avoir péché et profiter de la miséricorde divine, là, nous, confesseurs, sommes dégoûtés d'entendre la bravade impie et pharisienne de ceux qui se proclament bons et innocents peut-être en accusant les autres. Et si on ose leur rappeler comment se confesser, ils s'offusquent comme si on avait l'audace d'accuser un innocent et ils commencent à nous accuser de méchanceté. Le fait tragique est que le concept du péché comme faute à supprimer, c'est-à-dire en tant qu'acte maléfique conscient et libre, ça devient rare, parce qu'on ne se mesure plus à une norme objective, absolu, transcendant et dépendant de la volonté de Dieu, dont nous devons tenir compte, mais chacun construit une morale comme il l'entend, selon votre convenance, peut-être influencé par un théologien à la mode, non réprimandé par l'autorité ecclésiastique. Dieu devient simplement un notaire bienveillant de tout ce qui nous vient à l'esprit.. À cause de ce, la dite “pénitent” — il vaudrait mieux dire “grade” O “fanfaron” — n'a aucun péché à dénoncer, se repentir et demander pardon à Dieu. Le confessionnal s'échange à l'occasion de discussions libres sur les choses les plus diverses, des bavardages aux choses sérieuses, mais qui n'ont rien à voir avec les besoins et donc la validité du sacrement. Souvent c'est le pénitent qui l'a déjà tout seul, bien enraciné dans une mauvaise habitude évidente, idée fausse sur la confession et si le confesseur essaie de la corriger, le bon pénitent se sent comme si c'était le confesseur qui était incompétent ou cruel, cela crée des problèmes qui n'existent pas e “je ne peux pas donner un bon mot”. Mais alors, dans ces conditions, de quoi le confesseur devrait-il absoudre? Quels correctifs, les reproches ou les réprimandes peuvent faire? Quels avertissements? Quel conseil,? Quelles exhortations? Quelles commandes? Il semble que le soi-disant pénitent ne s'attend pas à se remettre d'une maladie., mais être approuvé dans sa conduite et félicité pour sa bonne santé. E’ le risque très élevé que le pénitent ne dispose pas des conditions nécessaires à une véritable confession est évident. Cependant, la responsabilité du confesseur est ici aussi grande, qui habitue mal les fidèles et qui transgresse le devoir sacré de rappeler au pénitent quelle est la vraie manière de se confesser.

Combien donc les paroles de l'Apôtre à son bien-aimé Timothée sont-elles toujours valables pour nous, prêtres et pour nos évêques.: « Annoncez le mot, en saison urgente et hors saison, ammoniaque, reproches, exhorte avec toute la magnanimité et la doctrine. Dans la journée, en fait, Il ne dure pas la saine doctrine, maman, ayant la démangeaison ils, Il accumuler pour eux-mêmes les enseignants pour répondre à leurs propres goûts, refusant d'écouter la vérité, se tourner vers les contes de fées" [II Tm 4, 2-4]. C'est aujourd'hui.

bon berger

image du Bon Pasteur

C'est pourquoi le bon berger doit stimuler non seulement l'amour de la vertu, mais aussi à la haine du péché et du vice. Il y a des pasteurs de bonne humeur qui parlent toujours de “amour” d'ailleurs et d'ailleurs et il leur semble que le discours sur “détester” soit inconvenant, soit contraire à la charité. C'est un très grave malentendu. Anciennement Sainte Catherine de Sienne, dont la charité ne peut être mise en doute, psychologue décédé, femme de bon sens et témoin de ce qui est la conviction la plus élémentaire de la conscience morale naturelle, il a dit: “Plus tu aimes le bien, plus tu détestes le mal”. Et notez bien: Mal, pas le méchant, qui en soi est une créature, pour sauver lequel Christ a donné son sang. Mais c'est précisément par amour du pécheur que son péché doit être haï et que le pécheur lui-même doit être exhorté et aidé à l'abandonner., tout comme c'est par amour pour les malades que le médecin combat la maladie.
C’est pourquoi les louanges du bien ne suffisent pas chez le pasteur et chez l’éducateur., s'il ne crée pas chez le disciple une opposition décisive et forte au péché en montrant toute sa laideur et sa haine; et surtout si cela ne lui montre pas le chemin pour se corriger, sous peine de perdition éternelle; sinon ça finit par créer des doubles personnalités, des faibles, des opportunistes et des schizophrènes, qui apprécient modérément le bien, pour plus de commodité, maman, toujours pour plus de commodité, ils ne rejettent même pas le mal, ne considérant pas cela comme une chose interdite, mais juste différent, utile pour l'occasion, afin de le garder pour ainsi dire “en réserve” et le mettre presque sur un pied d'égalité avec le bien et en compagnie du bien. Il y a là une certaine fausse forme de pluralisme et de respect des choix d’autrui., ce qui aboutit à l'abstentionnisme de ceux qui, ne pensant qu'à leurs propres intérêts, ne se soucient pas des malheurs et des malheurs des autres sous prétexte de les laisser en liberté.

Il faut, donc, plus racine, rappelez-vous ce qu'est le péché. Nous, confesseurs, constatons directement dans la pratique du confessionnal combien souvent ceux qui se confessent ne savent pas comment se confesser., parce qu'il a de fausses idées sur le péché ou ne sait pas ce que c'est ou nie avoir commis des péchés, de sorte que souvent le premier contact avec le pénitent nécessite une catéchèse patiente préalable sur la confession, seulement à la fin duquel le pénitent peut dire quels péchés il a commis. Il arrive qu'au début le pénitent soit surpris, s'énerve ou ne comprend pas, comme s'il entendait des choses étranges et inouïes; mais avec patience et charité le confesseur, peut-être après une longue interview d'introduction, parvient à le conduire aux conditions propices à une bonne confession. Comment existent les catéchèses prénuptiales, ainsi les catéchèses d'introduction au sacrement de confession sont utiles, peut-être même chez les pénitents de soixante ou soixante-dix ans, “catholiques” depuis l'enfance, mais on s'y habitue mal.

ChemiseAjoutez à cela la difficulté particulière des péchés sexuels, où il n'y a pas seulement une passion fréquente pour gagner, impétueux, insidieux et très attrayant, souvent agrémenté de couleurs scintillantes, mais plus en amont, il faut garder à l'esprit que le péché sexuel n'apparaît pas à première vue comme un mal, mais au contraire ça semble bon et tout à fait naturel: un acte lié à la vie, à la jeunesse, au plaisir, tout l'amour, à la beauté, comment ça peut être mauvais, une mauvaise action? Il faut donc montrer la réalité au-delà des apparences, raisonner et expliquer pourquoi c'est un péché, Giacchè, comme il est connu, l'éthique sexuelle est essentiellement dictée par la loi naturelle, avant d'être un précepte de l'Évangile ou de l'Église. À cause de ce, seulement que le sujet est influencé par des conceptions phénoménales, émotifs, existentialiste, empiriste, freudiane, hédoniste ou irrationnel ou faussement mystique, répandu aujourd'hui, il aura un énorme effort pour comprendre les motivations et les raisons de l'éthique sexuelle. Les évêques devraient donc aussi corriger ces idées. Mais que font ils?

Les évêques devraient donc se rappeler pourquoi toutes les déviations sexuelles et tous les péchés contre la famille sont des péchés., et enfin, comme il est toujours utilisé dans la tradition éducative ou pastorale catholique, ils devraient se souvenir au moins des principaux moyens naturels et surnaturels, pour éviter le péché, une aide efficace n'est pas exclue, qui peut venir d'une saine crainte de Dieu. Au lieu de cela, une fausse conception de la miséricorde divine est trop répandue, pour lequel chacun pouvait suivre sereinement ses propres désirs dans l'illusoire certitude d'être sauvé, présomption d'origine luthérienne condamnée à juste titre à l'époque par le concile de Trente.

Chiens de travail militaires

Berger allemand en colère …

A part les bergers de bonne humeur qui traitent durement et font peur aux bons, mais ils sont timides, les pasteurs d'aujourd'hui s'abstiennent trop de réprimandes et de corrections. Je partage pleinement la célèbre parole de ce grand guide spirituel qu'était saint François de Sales: “pour corriger le pécheur, une cuillère à café de miel vaut mieux qu'un tonneau de vinaigre”; mais le grand professeur, je pense, il sera d'accord avec moi même si j'inverse son propos dans ce sens: “une cuillère à café de médicament amer est meilleure, donné avec amour, quels mille mots doux mais flatteurs, qui laissent la personne malade dans un état malade, peut-être en lui donnant l'illusion de se sentir bien et d'être simplement un “différent”.

Les évêques parlent à juste titre de “familles blessées”. mais maintenant, où il y a une personne blessée, généralement il y a aussi le blessé. E’ il est donc juste d'avoir compassion et miséricorde pour les blessés, mais il faut de la justice et peut-être même de la sévérité pour le blessé ou contre le blessé.. Nous parlons de “défis” à la famille; d'accord, mais rappelons-nous que dans le domaine moral le challenger est un pécheur qui veut nous amener au péché.

Nous parlons de “souffrances” e “injustices subies”. CA va bien, mais souvenons-nous du péché de ceux qui font souffrir les autres ou commettent des injustices. Si une pauvre femme souffre parce que son mari la trompe, cela arrive parce que le mari a péché contre elle. Miséricorde à la femme, mais justice au mari. Et donc il ne sera pas nécessaire de prendre en compte toutes ces choses également?

puritains

“Les puritains” œuvre célèbre de Vincenzo Bellini

On a l'impression que les évêques, lorsqu'ils abordent dans leur discoursje te connaismais du péché, ils s'arrêtent avec une sorte de retenue puritaine. Ce n'est pas bien. C'est là qu'une pénurie est perceptible, qui frise l'hypocrisie ou la peur de toucher les puissants. Quelle miséricorde est celle qui ne défend pas les faibles des tyrans, mais considérez-les simplement comme des dieux “différent”, libres de continuer leur vie? Ne serait pas, ce, une atroce moquerie pour les pauvres opprimés et persécutés? Les sanctions pénales sont toujours utilisées dans l'Église. Le problème est de les utiliser à juste titre. Les modernistes et les bienfaiteurs en profitent, chacun pour soi.

Nous espérons donc que le document des évêques, plein de nombreuses idées positives et encourageantes, mais être complété par ces notes et avertissements. Dans le cas contraire, ce sera au Saint-Père de faire les interventions appropriées., afin de garantir à ce synode la véritable réalisation de son objectif d'accroître encore sperme Pierre et sous Les valeurs de la famille Petro, et pour aborder et résoudre les problèmes connexes.

fontanellato, 26 octobre 2014

Madone de Fontanellato

Cliquez ici pour écouter un chant marial de la tradition populaire

1 réponse
  1. Giancarlo dit :

    Tout d'abord félicitations et meilleurs vœux pour ce nouveau blog.

    Cher Père Jean, Je suis entièrement d'accord avec elle. Dans le rapport de fin du synode, il manque, comme tu le soulignes à juste titre, un indice de la réalité du péché qui, presque toujours, il est à l'origine de certaines situations problématiques. Manque également, à mon avis, une indication claire, une invitation explicite à la chasteté, INDISPENSABLE DANS TOUTES LES SITUATIONS, à la fois réguliers et problématiques. Toute la tension du synode semble avoir pour but d'accueillir, à la compréhension et au pardon, mais sans dénoncer le péché et sans l'intention de CHANGER LA VIE, maman, plutôt, avec l'acceptation implicite du moindre mal. On dit que dans une relation amoureuse, même si c'est adultère ou autrement illégal, il y a toujours des aspects positifs capables de générer du bien pour les gens. Mais CECI EST FAUX et vient d'une incompréhension du mot amour. Aujourd'hui, l'idée est répandue qu'aimer une personne signifie ressentir pour elle, passion,…

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